Petite forme? Ne culpabilisez pas

2019 a ramené les énergies du bois et de l’eau après une série d’années nous privant de courants bienveillants, fluides et nourrissants. Nous avons vu l’aggravation des tensions, le durcissement des positions, des opinions et des attitudes dans tous les domaines. Comme indiqué dans les conférences du Nouvel An, la possibilité d’une communication renouvelée entre les peuples et les nations, l’avancement des idées et le retour de relations fondées sur la confiance a timidement resurgi. Mais nous ne sommes qu’au tout début d’une séquence de trois ans qui remet du mouvement dans les rouages. Ne nous agitons pas trop vite et ne baissons pas encore la garde.

Avant de nourrir le mouvement et l’action, l’énergie de l’eau doit d’abord effacer les obstacles précédents, y compris ceux de nos propres attachements aux mémoires douloureuses et à l’inertie. Le mois de Mai a fonctionné comme un sas de transition et offert une pause entre le temps du nettoyage et celui des opportunités à venir.

Ne vous culpabilisez pas si vous n’êtes pas encore complètement sorti du bois et si une part de tristesse demeure. Mesurez vos forces. Choississez vos compagnons de route. Préparez-vous à la remise en route et profitez des quelques jours qui restent jusqu’au 5 Juin. Laissez partir ce qui doit maintenant s’éloigner. Appréciez les jours où il ne se passe rien.

Note: Mai 2019 est le mois du Serpent de Terre dans l’année du Cochon de Terre

9 réflexions au sujet de “Petite forme? Ne culpabilisez pas”

  1. Chère Marie-Pierre merci pour ces mots cadeaux qui nourrissent la vie, le mouvement et tissent la trame d’un chemin sans cesse renouvelé. Avec toute mon amitié

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  2. Merci Marie-Pierre pour cet article. Elle était intéressante cette période du mois de mai, où l’on se trouvait dans un sas entre le passé et l’avenir : on accueille les opportunités, mais on remarque que cela se fait en laissant s’éteindre ce qui nous rassure. En envisageant que ce qui nous rassure n’existe plus. Il y a tellement de choses auxquelles on tient pour se rassurer. Envisager ne plus les avoir, ouvre l’horizon et l’on sort du bois, comme tu dis si bien ! Ces attachements sont comme des flambeaux que l’on tient dans la nuit et qui nous aveuglent au point de ne pas voir les opportunités qui se présentent !
    Hâte de lire le prochain article.

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